N’étant pas journalistes, ils vécurent heureux (et longtemps)
Société

N’étant pas journalistes, ils vécurent heureux (et longtemps)

Reporters sans frontières

Top, dans l’exercice de mon métier, je risque d’être tabassé, menacé de mort, tué d’une balle dans le dos ou d’un tir de sniper, je suis, je suis, je suis ?

Agent secret ? Militaire ? Commando d’intervention ? Narcotrafiquant ? Gardien de la paix ? Non, journaliste.

Réjouissant, n’est-ce pas ? C’est en tous cas le constat du rapport annuel de Reporters Sans Frontières, qui fait état de 74 journalistes tués dans l’exercice de leurs fonctions en 2016. Depuis 10 ans, le nombre des victimes s’élève à 780 et si la tendance est à la baisse, les multiples conflits qui agitent le globe ne peuvent que nous faire présager du pire.

Quand on est enfant, on a des rêves pleins la tête. On veut devenir danseuse, pompier, astronaute, humoriste ou vétérinaire. Pas journaliste. Car si c’était « journaliste », ça donnerait ce film.

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