On a peu souvent l’occasion de se souvenir en frissonnant de ses premiers émois de coeur. Cette campagne en est une.
Être enfant, c’est apprendre et expérimenter. On apprend quand il y a des règles, des méthodes et des principes, on expérimente quand il n’y en a plus. On apprend comment le monde fonctionne en théorie puis on expérimente avec lui et ceux qui l’animent, à l’instinct. On se fait des amis d’abord et puis très vite, il y en a qui comptent un peu plus que les autres. Pourquoi ? Nul ne le sait vraiment.
Ces sensations passent par beaucoup de petits riens : des regards, des petits mots qu’on s’envoie, puis la machine s’emballe, l’être aimé(e) qui occupe nos pensées, on ficèle des plans loufoques pour se faire remarquer, sortir du lot, on aménage le moment où et puis on fonce.
La réussite ou l’échec de ces entreprises audacieuses repose sur de nombreuses variables non-maitrisées : le timing, le contexte, la chance, le hasard. Peu importe l’issue au fond, de ces expérimentations naît l’expérience et on façonne peu à peu nos rapports avec l’autre. Et le plus beau dans tout ça, c’est que dans l’ensemble, tout le monde s’en sort. Parfois par miracle.
Cette nouvelle campagne Monoprix est l’histoire d’un petit miracle comme il y en a beaucoup, un peu partout, au quotidien.